Ma mère a pris cette photo à 16h47, sans se douter une seule seconde que, cinq minutes plus tard, à 16h52, le monde entier s’effondrerait autour de nous.
Ce cliché, anodin en apparence, est devenu la dernière trace d’un souffle, d’un sourire, d’une présence que rien – absolument rien – ne pourra remplacer. […]