
La pelleteuse a percé la roche – les mineurs sont restés pétrifiés : PERSONNE ne s’attendait à ça !
Tout avait commencé comme un jour ordinaire dans une carrière isolée des monts de Bohême. Les ouvriers étaient descendus tôt, prêts à attaquer une nouvelle section du tunnel. Le bruit des foreuses résonnait dans les galeries étroites, le sol vibrait sous les coups répétés de la machine. Rien d’extraordinaire — jusqu’à ce moment précis où le sol sembla… répondre.
Le conducteur de la pelleteuse s’arrêta brusquement. Un son différent venait de retentir — pas celui d’une pierre, mais d’un métal creux, presque… vivant. Le silence tomba d’un coup. On aurait pu entendre une épingle tomber. Les hommes échangèrent des regards inquiets.
— « Ce n’est pas du granit », murmura l’un d’eux.
— « Alors qu’est-ce que c’est ? » répondit un autre, la voix tremblante.
Ils dégagèrent lentement la poussière et découvrirent une surface lisse, froide, qui ne ressemblait à rien de naturel. Un métal inconnu, noir, sans rouille, incrusté dans la roche comme s’il y reposait depuis des millénaires. Une structure artificielle… enfouie à plus de 200 mètres sous terre.
Sous la montagne – le silence avant la tempête
Le chef de chantier alerta immédiatement les ingénieurs. Une caméra d’exploration fut insérée dans une fissure. Sur l’écran, les mineurs aperçurent un espace immense, parfaitement géométrique, baigné d’une lumière pâle sans source visible. Au centre, un objet massif reposait sur le sol.
Mais en s’approchant, l’un d’eux eut un haut-le-cœur. Ce n’était pas un objet. C’était une forme humaine.
Un corps, couché, immobile. Sa peau semblait métallique, légèrement phosphorescente. Le visage — d’une beauté glaciale — évoquait un être humain… mais quelque chose clochait. Les proportions étaient trop parfaites.
— « On dirait un homme… ou une machine », souffla un technicien.

Puis, soudain, les paupières de la créature frémirent. Une vibration profonde secoua la galerie. La caméra se coupa. Le sol trembla si fort que la pelleteuse se renversa sur le flanc. Les hommes s’enfuirent dans un chaos indescriptible, laissant tout derrière eux.
L’ouverture – et la peur
Lorsque l’armée arriva sur les lieux, la galerie s’était partiellement effondrée. Ce qu’ils trouvèrent à l’entrée les glaça : le métal découvert par les mineurs s’était ouvert sur une dizaine de mètres. De l’intérieur s’échappait un souffle chaud, accompagné d’un bruit grave, semblable à une respiration.
Les scientifiques affirmèrent qu’il s’agissait d’une « anomalie géologique » — une explication que personne ne crut. Quelques jours plus tard, les ouvriers furent interrogés un à un. Certains racontèrent avoir vu des lumières sous la roche. D’autres jurèrent avoir entendu des pas… métalliques.
Et puis, plus rien. Le site fut bouclé, les accès soudés, les rapports classifiés.
Mais le cauchemar ne s’est pas arrêté là
Trois semaines plus tard, un des mineurs disparut. Son véhicule fut retrouvé en bordure de la forêt, moteur allumé, portière ouverte. Sur le siège, un fragment de métal noir — identique à celui découvert dans la grotte.
Dans les jours qui suivirent, des habitants des villages voisins racontèrent avoir aperçu, la nuit, une lueur bleutée se déplacer au flanc de la montagne. Les chiens hurlaient sans raison, les téléphones perdaient leur signal.
Une vidéo fuitée, prétendument issue des caméras de sécurité du chantier, fit rapidement le tour du web avant d’être supprimée. On y distinguait une silhouette humanoïde avançant lentement dans le tunnel, les yeux brillants d’une lumière blanche, le corps entièrement métallique. À la fin de la séquence, la créature levait la tête — et regardait droit dans la caméra.
La vérité qu’on ne veut pas révéler
Officiellement, le gouvernement tchèque affirma qu’il s’agissait d’une « expérience industrielle ancienne ». Pourtant, des documents confidentiels mentionnent une technologie inconnue, composée d’un alliage jamais identifié sur Terre.
Les chercheurs envoyés sur place auraient trouvé des inscriptions gravées dans le métal, écrites dans un alphabet indéchiffrable. Certains pensent qu’il s’agit d’un vestige d’une civilisation préhumaine. D’autres — plus audacieux — affirment que c’est la preuve d’une présence extraterrestre datant d’avant notre histoire.
Mais ceux qui étaient là ce jour-là — les vrais témoins — disent autre chose. Ils disent que ce qu’ils ont vu était vivant. Qu’ils ont senti son souffle, entendu le métal battre comme un cœur.
Et surtout… que depuis, la montagne n’est plus silencieuse.
Parfois, au milieu de la nuit, un bruit sourd se fait entendre.
Un coup. Puis un autre.
Comme si quelqu’un, ou quelque chose, frappait depuis l’intérieur.
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