Un volontaire qui a couvert une femme sous les bombardements à Kharkiv a accordé une interview et a déclaré qu’il rêvait de travailler sur une ambulance


Depuis plus de 60 jours, la ville ukrainienne de Kharkiv verse des larmes et du sang, et la Russie bombarde quotidiennement le centre de la ville.Cette vidéo s’est propagée dans le monde entier et est devenue virale.


On peut voir et entendre des explosions à côté du jeune homme, les médecins et les militaires commencent à se cacher, mais ce brave garçon à la veste rouge reste avec les blessés. Il presse fermement le pansement contre sa blessure pour l’empêcher de saigner.

Denis Petrenko, 25 ans, est bénévole depuis 7 ans. L’autre jour, il était à l’épicentre même des explosions. Il a été l’un des premiers à courir vers les blessés et a commencé à les aider. Avec les médecins de l’ambulance et les journalistes de l’agence Associated Press, ce sont eux qui ont tourné cette fameuse vidéo. Maintenant, le monde entier connaît l’Ukrainien Denis Petrenko.

Le gars n’a pas couru pour se mettre à l’abri, bien que selon tous les protocoles, il était obligé de le faire, il s’est retrouvé avec une blessure. «Je tenais déjà la plaie, et bien qu’un garrot y ait déjà été posé, il fallait quand même sauver une vie, un de nos principes fondamentaux c’est l’humanité», raconte Denis.

Non seulement il n’a pas abandonné les blessés, mais il a également tenté de protéger la femme des éclats d’obus et lui a demandé de se couvrir la tête avec un sac. Denis dit qu’avec de tels bombardements, c’est le maximum qu’on puisse faire. Le volontaire a une formation médicale et rêve de travailler dans une ambulance.

«Je suis diplômé d’une faculté de médecine, je suis venu ici, j’ai pensé à travailler dans une ambulance, mais en raison de certaines situations de santé, ont-ils dit — seulement après la guerre, quand vous passez un examen médical», explique Denis.

Bientôt, le gars veut prendre une journée de congé et rendre visite à l’homme et à la femme qu’il a aidés. Pour s’assurer qu’ils vont bien.

Maintenant, le lieu du bombardement est déjà en train d’être mis en ordre et les conséquences sont supprimées. Les Russes bombardent Kharkov tous les jours, frappant le centre-ville, le secteur privé, détruisant des maisons, des églises et des quartiers entiers.

Nous ne vous pardonnerons jamais…


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