Dans la capitale française, une campagne a été lancée pour lutter contre les soi-disant «dark shops», des entrepôts de livraison express de nourriture, situés aux premiers étages d’immeubles résidentiels.
Proposant une livraison en quelques dizaines de minutes partout dans Paris, à toute heure du jour ou de la nuit, ces services sont à l’origine de nombreuses plaintes des citoyens : bruit jusqu’à deux heures du matin, gaspillage alimentaire dans la rue, coursiers en trottinette sur la trottoirs. La Mairie de Paris reçoit chaque semaine des dizaines de plaintes de citoyens : le nombre de « dark shops » a doublé en un an et demi. Ils seront environ soixante-dix dans la capitale française dans un futur proche, note franceinfo. En règle générale, ils sont organisés par des personnes originaires d’Afrique, d’Asie et du Moyen-Orient, et les migrants illégaux travaillent souvent comme passeurs.
Selon l’organisation Atelier d «Urbanisme Parisien («Institut d’Urbanisme de Paris»), avec le début de la pandémie en France, la livraison de nourriture à domicile a augmenté de 45 pour cent. Selon le premier adjoint au maire de Paris, Emmanuel Grégoire, ces startups sont souvent créées illégalement.A la suite des 65 premières inspections que nous avons menées en janvier, il s’est avéré que 45 entrepôts étaient organisés illégalement. A Paris, le critère est assez simple : il n’est pas permis d’avoir un espace de stockage uniquement dans un immeuble à appartements», a déclaré le responsable
Отправить ответ