Un Policier Aperçoit un Cercueil au Milieu de la Rue : Il Sort de sa Voiture, Ouvre le Couvercle et Reste Figé d’Horreur


La nuit était d’un silence étrange, comme si la ville elle-même avait cessé de respirer. Seules quelques voitures isolées traversaient l’obscurité de leurs phares. Le sergent Paul Morel, policier chevronné, savait que c’était précisément à ces heures calmes que survenaient les incidents les plus étranges. Mais rien ne pouvait le préparer à ce qu’il allait découvrir.

Sa patrouille avait commencé sans incident notable : quelques contrôles de routine, de petites infractions, deux ou trois appels de citoyens inquiets. Puis, peu avant minuit, la voix grésillante du central résonna dans son oreillette, signalant un objet suspect en périphérie de la ville.

En s’engageant dans une rue déserte, Morel le vit immédiatement. Sous la lumière froide des lampadaires, se dressait un cercueil massif en bois. Il semblait neuf : le vernis sombre luisait et les poignées métalliques réfléchissaient la lumière avec éclat.

Le sergent immobilisa sa voiture, enclencha les gyrophares, et un frisson glacé lui parcourut l’échine. Pas un bruit, pas une silhouette humaine — seulement le vent qui poussait quelques feuilles mortes le long du trottoir.

Il sortit lentement de la voiture, refermant la portière avec précaution. Sa main se posa instinctivement sur l’étui de son arme. Chaque pas vers le cercueil résonnait dans le silence comme un coup sourd.

Arrivé à proximité, son cœur accéléra. Il attrapa le couvercle et le souleva doucement. Les charnières grincèrent et, pendant un instant, il eut l’impression que l’air lui-même s’alourdissait.

À l’intérieur reposait… une poupée. Mais pas n’importe laquelle : grandeur nature, vêtue d’une ancienne robe de mariée. Le tissu, autrefois d’un blanc immaculé, avait jauni avec le temps. Son visage était troublant de réalisme : paupières closes, cils délicats… et un mouvement imperceptible de la poitrine, comme si elle respirait.

Morel recula d’un pas, refermant brusquement le cercueil. Une pensée glaçante traversa son esprit : mauvaise blague ou quelque chose de bien plus sinistre ? Il saisit sa radio et demanda du renfort.

Pendant qu’il attendait, le silence devint encore plus oppressant. Un léger froissement se fit entendre à l’intérieur. Le couvercle se souleva lentement de lui-même, et le visage de la poupée se tourna vers lui. Ses yeux — vivants, froids — se fixèrent dans les siens.

Le sergent dégaina son arme, mais l’instant d’après, tout redevint immobile. Lorsque les autres policiers arrivèrent, ils ne trouvèrent qu’une figure inerte, aux yeux de verre. Pourtant, Morel n’oublia jamais le sentiment d’être observé par ce regard.

Depuis cette nuit, il évite soigneusement cette rue. Le cercueil repose toujours dans l’entrepôt des scellés, lié à une affaire sans nom, sans suspect et sans explication. Mais certains jurent que, par nuits profondes, on entend un léger coup frappé de l’intérieur…

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