À dix-neuf ans, elle devint l’épouse d’un cheikh de soixante-quinze ans… mais ce qui s’est passé pendant la nuit de noces a bouleversé tout le palais


😲 À dix-neuf ans, elle devint l’épouse d’un cheikh de soixante-quinze ans… mais ce qui s’est passé pendant la nuit de noces a bouleversé tout le palais 😲👀

Elle n’avait que dix-neuf ans lorsque le destin d’Anna prit un tournant qu’elle n’aurait jamais imaginé. Fille d’une famille autrefois respectée mais ruinée, elle fut entraînée dans un marché silencieux où son avenir servit de monnaie d’échange. Pour effacer les dettes qui menaçaient de faire disparaître le vignoble familial, on la maria à un cheikh immensément riche — un homme dont la fortune se mesurait en empires et en secrets.

Le contrat fut signé, les comptes réglés. Le cœur serré, Anna prit l’avion pour Marrakech — vers un monde inconnu où le luxe se mêlait à la peur.

Naïvement, elle espérait que ce mariage ne serait qu’une façade, un arrangement mondain. Peut-être, pensait-elle, que ce vieil homme ne cherchait qu’une compagne élégante, une ombre à ses côtés.

Mais chaque mot du contrat, chaque regard des avocats, chaque silence du cheikh murmurait le contraire. Il voulait plus qu’un simple nom sur un papier.

La nuit tomba sur le palais. L’air vibrait d’une tension étrange, presque palpable. Le parfum des fleurs se mêlait à une angoisse sourde.

Dans une chambre éclairée par des lampes dorées, Anna attendait — vêtue d’une robe blanche légère, les mains tremblantes. Chaque battement de son cœur résonnait comme un tambour de guerre.

Puis, les lourdes portes s’ouvrirent.

Tariq Ibn Rashid entra — grand, imposant, le visage impassible. Son regard tranchait comme une lame, sa voix grave déchira le silence :

— « Déshabille-toi. »

Elle resta figée. Puis, lentement, obéit. Les secondes s’étiraient, suffocantes. Son souffle devint court, ses yeux se remplirent de larmes. Tariq s’approcha, posa une main sur son épaule, puis s’allongea à ses côtés.

Et à cet instant précis, un geste inattendu fit taire jusqu’au dernier murmure du palais.

Il posa sur la table de chevet un coffret ancien. En l’ouvrant, Anna découvrit… des lettres. Des dizaines, jaunies, soigneusement pliées.

— « Lis-les, » murmura-t-il.

Elles étaient adressées à une femme nommée Leïla. Chaque mot respirait la passion, la tendresse, la douleur. La gorge d’Anna se serra : ces lettres racontaient une histoire d’amour perdue, celle d’une femme disparue il y a cinquante ans.

— « Elle te ressemblait… même ta voix. »

La vérité tomba comme un couperet. Le cheikh n’avait jamais voulu une épouse. Il voulait ressusciter le fantôme de celle qu’il avait aimée autrefois — une jeune fille morte tragiquement à dix-neuf ans.

Anna comprit alors : elle n’était qu’une ombre, un reflet du passé.

Mais le pire restait à venir.

Au petit matin, les serviteurs frappèrent à la porte. Aucun son ne répondit. Lorsqu’ils entrèrent, le cheikh gisait à ses côtés, immobile, un sourire paisible sur les lèvres. Son cœur avait cessé de battre.

Dans sa main, une lettre — la dernière — adressée à Anna :

« Pardonne-moi. Tu m’as rendu ce que la vie m’avait volé : une dernière nuit d’amour, même dans le silence. Maintenant, je peux rejoindre celle que j’attendais. »

Anna resta de longues heures à ses côtés, sans verser une larme.
Ce n’est qu’au lever du soleil, lorsque la lumière envahit la pièce, qu’elle sentit la brûlure dans sa poitrine — la douleur d’avoir été choisie pour incarner un souvenir, mais d’avoir fini par aimer un homme qu’elle devait haïr.

Elle quitta le palais le soir même, sans un mot.
Mais certains disent que, chaque année, à la même date, une jeune femme vêtue de blanc revient déposer une lettre au pied du tombeau du cheikh…

Et quand le vent du désert souffle sur Marrakech, on croirait entendre deux voix se mêler dans la nuit — celle d’un vieil homme et d’une jeune fille de dix-neuf ans, unis à jamais par un amour né d’un marché et mort dans une étreinte.

Оставьте первый комментарий

Отправить ответ

Ваш e-mail не будет опубликован.


*