
Une journée ordinaire dans un lycée prestigieux. Un groupe d’élèves en uniforme, quelques selfies, des rires étouffés dans les couloirs. Rien ne semblait étrange, rien ne semblait inquiétant… jusqu’à ce moment précis où, en se regardant dans le miroir, elles ont vu quelque chose — ou plutôt quelqu’un — qu’aucune d’entre elles n’avait jamais vu entrer dans la pièce.
Le miroir du couloir du troisième étage
Ce miroir est là depuis des années. Des milliers d’élèves y ont jeté un coup d’œil rapide avant d’entrer en classe. Mais les rumeurs circulaient depuis longtemps :
« Parfois, il y a une ombre qui n’est pas la tienne. »
« Tu peux voir des choses… que les autres ne voient pas. »
Mais personne ne croyait vraiment à ces histoires. Jusqu’à ce jour.

L’effet miroir — ou le début du cauchemar
Elles étaient six. Six adolescentes, en uniforme rouge et blanc, qui avaient décidé de faire une vidéo TikTok dans les toilettes du lycée. Le genre de contenu habituel : une pose synchronisée, quelques baisers laissés sur le miroir, et une chorégraphie virale.
Rien de dangereux. Juste un moment entre amies. Jusqu’à ce que le reflet change.
Un septième visage. Un intrus. Un inconnu.
Il n’était pas dans la pièce. Elles l’auraient vu.
Mais dans le miroir, derrière leurs visages maquillés et leurs sourires enjoués, se tenait un homme. Imposant. Immobile. Un visage pâle, des yeux fixes, aucune émotion.
« Ce n’était pas un reflet. Ce n’était pas un glitch. Ce n’était pas une illusion. Il était là. Et il nous regardait. »
— témoigne Nina, l’une des filles présentes.
Ce qui s’est passé ensuite reste inexpliqué
Certaines ont hurlé. D’autres sont restées figées. Une a laissé tomber son téléphone, qui a continué à enregistrer pendant que toutes fuyaient les lieux.
Mais lorsque deux professeurs sont arrivés quelques minutes plus tard, le miroir était vide. Aucune trace de l’homme. Aucune preuve, sauf… une étrange empreinte de l’intérieur du verre. Comme une paume pressée contre l’autre côté du monde.
L’école a tenté de cacher l’affaire. En vain.
Les téléphones ont été confisqués. Le personnel a reçu pour consigne stricte de ne pas parler aux médias. Les vidéos ont été supprimées.
Mais un extrait de 2 secondes a été récupéré via AirDrop par un élève qui passait à côté — et l’a publié anonymement.
Le clip s’est propagé sur internet comme une traînée de poudre, accompagné de titres comme :
« Le reflet de trop »
« Elles étaient six. Qui est le septième ? »
« L’homme du miroir est réel »
Un miroir venu de nulle part
Le plus troublant ? Le miroir ne faisait pas partie des installations d’origine du lycée. Selon un ancien agent d’entretien, il aurait été installé « discrètement » il y a quatre ans, sans commande officielle. Aucun fournisseur n’a été enregistré. Aucune facture. Rien.
Une légende urbaine prétend qu’il proviendrait d’un hôpital psychiatrique abandonné, rasé en 1998. Là où, selon les archives, un patient aurait été retrouvé… mort face à un miroir, les yeux grands ouverts, et un sourire impossible à expliquer.
Des spécialistes du paranormal ont été contactés
Un groupe d’enquêteurs spécialisés dans les phénomènes inexpliqués s’est infiltré dans l’établissement une nuit. Ce qu’ils ont détecté ?
Des variations de température extrêmes autour du miroir
Un champ électromagnétique concentré sur la vitre
Et un bruit enregistré à 2h17 du matin :
« Tu m’as vu. Maintenant je te vois. »
Et les filles ? Où sont-elles aujourd’hui ?
Depuis cet incident, quatre des six filles ont changé d’école. Deux suivent une thérapie. Une a supprimé tous ses comptes sur les réseaux sociaux. Aucune d’elles ne veut parler publiquement.
Sauf une. Elle a laissé un message anonyme sur un forum spécialisé :
« Ce n’était pas un fantôme. C’était une présence. Et elle ne venait pas du miroir. Elle venait à travers. »
Conclusion : fais attention à ce que tu regardes. Et surtout à ce qui te regarde.
Les miroirs reflètent notre image. Mais parfois, ils gardent quelque chose de plus. Quelque chose qui observe. Quelque chose qui attend.
Alors la prochaine fois que tu croiseras un miroir — demande-toi :
Qui regarde vraiment ?
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