Il y a des emplois qui peuvent être passionnants, mais souvent peu gratifiants. Par exemple, c’est bien de pouvoir protéger ses concitoyens et assurer l’ordre public en étant policier, mais on n’est pas toujours bien vu et il est parfois difficile d’approcher les gens quand on porte un uniforme.
Cependant, et heureusement, il y a encore des gens qui comprennent et apprécient le travail acharné et les risques constants que prennent tous les policiers pour assurer la sécurité de leur secteur. Donnie Jackson, shérif adjoint exerçant aux États-Unis, l’a découvert avec plaisir. Un matin comme un autre, le shérif adjoint Jackson s’arrêtait régulièrement dans un café de Weston, en Floride, lorsqu’il s’est senti observé et a commencé à s’inquiéter : «Je suis entré dans ce restaurant pour prendre le petit déjeuner avant d’aller travailler pour mon service. Quand je suis entré, tous les yeux étaient rivés sur moi. Je ne pouvais qu’imaginer ce qui se passait dans la tête des gens à l’intérieur du restaurant, avec tous les préjugés qu’il y a sur les forces de l’ordre. Quoi qu’il en soit, je suis allé à la caisse pour passer ma commande. pour sortir mon portefeuille, un enfant m’a dit : « Je vais payer ton petit-déjeuner. J’étais sans voix et flatté», a-t-il déclaré.
Austin Feldman, sept ans, et ses parents se sont alignés à côté du policier. La mère du garçon, Jaime, 39 ans, a déclaré qu’Austin l’avait admiré: «Il m’a dit que ce serait bien si nous lui payions le petit déjeuner. Alors nous lui avons donné l’argent», a-t-elle expliqué. Surpris par un geste aussi gentil, l’adjoint Jackson a tenté de dire merci et de décliner l’offre : «J’ai décliné, mais ses parents ont insisté : ‘Quand tu as franchi la porte, Austin a insisté pour t’offrir le petit-déjeuner car il apprécie le travail ingrat que tu fais. !’ Heureusement, je portais mes lunettes de soleil, car j’étais très ému. J’ai beaucoup apprécié le geste de l’enfant et les belles qualités que lui ont inculquées ses parents», a commenté l’adjoint Jackson.
Il est bon de savoir qu’il existe encore des personnes qui peuvent être spontanément bienveillantes et qui apprécient les efforts et le travail des forces de l’ordre au quotidien.
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