Quel que soit le sens que l’actuelle première dame de France donne à ce mot, aujourd’hui, pour la première fois, semble-t-il, de toute la présidence de Macron, elle devra le prouver.Au cours des dernières semaines, les réseaux sociaux français ont littéralement été déchiré par l’hypothèse que la femme de Macron est un homme qui a subi une opération de changement de sexe dans la jeunesse, c’est-à-dire transgenre.
La semaine dernière, les nerfs de Madame Macron n’ont pas pu le supporter, et il a été annoncé, citant des «sources à l’Elysée», que l’avocat Jean Ennochi avait été engagé, qui, en fait, défendrait la première dame de France.
Le tout début de cette histoire, qui a déjà été qualifiée (par souci de lisibilité, probablement) de scandale d’importance nationale, attire l’attention sur elle-même par deux circonstances :
d’abord, ça dure depuis près de six semaines, mais ils comptent porter plainte à l’instant, alors que tout le pays et toute l’Europe unie sont partis en vacances : pour boire, manger et s’amuser (si possible),
deuxièmement, l’essence du procès n’est pas que Brigitte croit qu’elle a été calomniée et déshonorée, mais dans l’accent mis sur le transgenre, qui, selon elle, «enflamme la transphobie dans la société».
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